"Des erreurs de la nature! Des monstres! Ces êtres perfides et cruels ne doivent pas exister! Ils sont parmi nous! Se croyant tout permit! Effraient nos femmes et nos enfants! Devons nous abandonner... Devons nous abandonner! Ou nous battre! Se battre pour pour reprendre notre place de maître! Que ceux qui sont pur s'arment! Ne les cachez pas! Vous y perdrez la vie..."


C’était le discourt qui me réveilla, moi, Jeff, habitant des restes de la terre en 2080. Ce discourt, c’était celui de notre "guide a tous"... Depuis les guerres nucléaires, des créatures a la peau verte sortent de nul par. Ont a eu vite fait de les juger! Au vue des pinces au bout de leurs bras, ils ne peuvent être que dangereux! Le guide avait raison! Il nous fallait les exterminer! Tous! Nous nous somment réfugier dans des bidons-villes, et ces erreurs de la natures -c'était leur nom"- occupent le plus gros de la planète.



Comme chaque samedi -ont était samedi- j'allais voir Raph... Un pote a moi... Ont discutait de tout et de rien... Pourtant, ce jour la...


"Hey Raph!"

Il me vit et vint vers moi.

"Jeff! T'a entendu ce discourt?
-Oui, je pense que...
-Moi aussi! je trouve que c'est n'importe quoi!" me coupa t-il. J'était choqué! Oser contredire ainsi notre guide! Comment pouvait-on trouver autre chose que e la haine envers ces créatures?! Peau verte, pinces, absence de nez... Elles étaient moches! Horrible! Je fut si outré que je prétexta une excuse pour rentrer.

Ont était ce jours la le lendemain d'hier, et comme chaque dimanches, ont était dimanche.


Mais je ne fut non pas réveillé par la belle voix de notre guide, mais par une alarme: Une meute d'erreur de la nature était proche. Les soldats commencèrent a faire feu, et nous, civiles, fuyons...

Mais je vit un homme. Cet homme protégea les êtres verdâtres. Et le pire: c’était Raph...
C'est triste, mais comme ça... Je fit mon devoir de survivant... Je prit une arme au sol, et d'une balle... Je l'abattit. Son corps... Tombât... Je me remit a courir.





Voila deux semaines que je suis ici... Un autre bidon-ville. Une poche de gaz a explosée... Moi...Les autres survivants...Notre peau pelle... Prend un teint verdâtre... Mon bras mute... Ces monstres n'étaient en fait que des hommes contaminé par un gaz radioactif...... Raph avais raison... Ce ne sont pas des monstres... Que des préjugés... Alors que je devient "vert a pinces"... Chut... J'entend des pas... Ils viennent nous abattre... Au fond... Qui de nous ou des hommes sont les véritables erreurs de la natures?